Nous avons tous un surmoi, plus ou moins présent. Nous nous sentons tous obligés de…. Cette discipline qui nous singularise tant. C’est un ensemble de contraintes quotidiennes que nous nous imposons de bon gré. Cette volonté de fer qui nous caractérise. Ce sont les marqueurs d’une personnalité, forte, courageuse mais surtout guerrière. Ne jamais céder ! Ne jamais se laisser distraire, ni envahir. Ne pas laisser entrer ce qui pourrait faire des ricochets dans cette quiétude. Il faut donc se tenir à côté de soi. C’est une simple question d’équilibre. Dans cette prison dorée il y a tout loisir de contempler, comme extérieur à soi. Et toutes ces choses qui arrivent, nous parviennent à nous de manière plus légère. N’est-ce pas là le seul chemin nécessaire d’emprunter pour s’atteindre ? S’atteindre ? Se révéler à soi en fait. C’est là, la naissance des nuances et de la dentelle de l’être. Il est certain que nous pouvons vivre sans, dans cette absence de tons.
-
Grain de rouge…
Je sais que là-bas, de l’autre côté du miroir aux alouettes, tout se ressemble, les mains,… -
Grain de vie..
La langue dénouée libère la verte ivresse de l’insouciance. Déposer ce masque sur nos visa… -
Grain de pluie…
Quelle joie infiniment lumineuse, ses jolis soleils, ses débordements…je l’ai vu dev…
Charger d'autres articles liés
-
Grain de rouge…
Je sais que là-bas, de l’autre côté du miroir aux alouettes, tout se ressemble, les mains,… -
Grain de vie..
La langue dénouée libère la verte ivresse de l’insouciance. Déposer ce masque sur nos visa… -
Grain de pluie…
Quelle joie infiniment lumineuse, ses jolis soleils, ses débordements…je l’ai vu dev…
Charger d'autres écrits par handiparisperpignan
-
L’ampleur…
Ma vie est habitée par les vies…les solitudes, toutes, sans aucun doute, quelque chose rev… -
Ne rien savoir
Je plante mon regard dans tes bras. Je colle mes lèvres sur ta peau. Je sais, je sais que … -
Charger d'autres écrits dans Non classé
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.
Consulter aussi
Et tout commence par…
Tout ne commence-t-il pas par une naissance, celle d’un simple désir ? On n’y prête pas fo…