Amour demeure le seul et unique vocable dont je perçois distinctement tous les battements, dont les ondes se propagent à la vitesse grande v, au delà du cœur, dans tout le corps, dans chaque organe. Des plus faibles de l’agonie, du désamour, à ceux des nuages, plus intenses. Tous, pénétrent par ricochet, par fragments plus ou moins violents, forts. On le perçoit dans un regard, coquin, accrocheur, un clin d’oeil, sur les lèvres humides qui esquissent timidement un sourire, une main qui se tend, ou se pose sur votre épaule. Il se morcele, quelques spasmes secouent le corps. Etre une femme libre mais amoureuse !
isabelle franc rttr
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