C’est perdu d’avance ! J’aurais tant aimé avoir la chance de faire partie de cette catégorie de femmes dont le physique, et rien que lui, rendent les hommes totalement fous. Et ne me dîtes pas que je me trompe ! Certains hommes deviennent carrément aliénés à ces femmes « entre guillemet ». Ces filles sans cesse sollicitées qui font tourner les têtes. Ce genre d’esthétique sur lequel tout le monde, y compris les femmes, se retournent, admiratifs.ves., parce qu’il est quasi impossible de faire autrement, comme de ne pas le remarquer.
Elles laissent dans les mémoires un désir avorté. Une promesse non tenue. Parmi les nombreux détails, il y a la blondeur. Personnellement je n’ai pas la chance d’appartenir à cette catégorie. Il y en a un deuxième tout aussi vrai : la taille. Évidemment, il y a un minimum en dessous duquel le charme refuse d’opérer. Il n’agit plus sur l’autre. Que je vous dise qu’en dessous d’un mètre cinquante – taille tout à fait acceptable aux yeux de la gent masculine - le jeu de la séduction n’aura pas lieu. Inutile donc de perdre son temps.
Bien que je n’ai de compte à rendre à personne, force est de constater cet état comme un diagnostic d’une pathologie. J’ai fini par me faire une raison en me disant que si la nature m’avait créée ainsi ce n’était pas pour rien. Pourquoi en serait-il autrement ? Il m’appartenait par conséquent de le démontrer. Il ne tenait qu’à moi d’en être la preuve vivante.
Oter ce gris pour atteindre l’arc-en-ciel.
Isabelle franc rttr
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