Minimum de Maunder
Ce matin tout en parcourant le fil d ‘actualité de ma page Facebook, un article a attiré mon regard. Je commence donc à le lire et là, j’apprends que la Terre, notre belle planète bleue, va connaître en 2030 une mini période glaciaire…brrrrrrrrr. Ce phénomène porte un nom : minimum de Maunder (du nom de Edward W. Maunder qui a fait état de ce phénomène en 1890)
Cette nouvelle me glace le sang. En 2030 j’aurais soixante deux ans et approcherait de la retraite, de quoi me remonter le moral après ce choc. Je ne suis pas vraiment surprise car les technologies actuelles ont tellement avancées que les sciences en arrivent à être en mesure de faire de telles prévisions. Des fois le progrès peut faire peur.
A présent que cela est su il me semble impératif de s’y préparer, n’est-ce pas ? C’est bien beau de balancer de telles informations ainsi mais on fait quoi après ?
Il est inimaginable pour moi de laisser subir ce phénomène sans s’inquiéter et réagir sans plus attendre. Douze ans cela passe vite. Evidemment il y a plein de questions qui émergent. Aura-t-on suffisamment d’énergie ? Est-ce que cela va engendrer ue famine ? Faut-il faire des réserves ? D’eau potable ? Etc….je pense à tous ces enfants qui ont une dizaine d’années aujourd’hui et qui auront à peine vingt ans. A nous de nous montrer sage, de faire preuve de prudence et de raison.
Voici le début de l’article :
« D’après des scientifiques britanniques, le Soleil pourrait être confronté, dès 2030, à un phénomène appelé « minimum de Maunder ». Celui-ci pourrait provoquer une nette baisse des températures sur Terre.
La Terre va-t-elle connaître de nouveau un «petit âge glaciaire»? D’après une étude menée par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l’activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d’ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme de 1645 à 1715. Une période appelée «Minimum de Maunder», se traduisant par un nombre de taches solaires – de petites régions sombres où la température est plus basse que celle de son environnement – très faible.
Pour avancer cette hypothèse, l’organisme se base sur la mise au point d’un nouveau modèle des cycles solaires qui permet «des prédictions d’une précision sans précédent», commente l’organisme. Le modèle repose sur l’analyse de la circulation des champs magnétiques à l’intérieur et à la surface du Soleil, un phénomène appelé «effet dynamo». »
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