Point de suspension
C’est-à-dire que le fantôme de la rupture s’est ravivé ces derniers temps au cours des échanges oraux. Il y a les mots qui énoncent les faits, qui disent la nature des choses, les autres qui traduisent le chaos cérébral, cet imbroglio. Il y a aussi parmi cette fourmilière de trouble faits, ceux qui exhortent, qui motivent, qui trahissent le cœur ou la raison, la pensée, les sentiments ou pas. Un mot peut-il en cacher un autre ? C’est donc cela, ce sont eux les méchants, parce qu’ils dénaturent notre être, font des nœuds à nos émotions, et tordent nos sentiments, parce qu’ils osent demeurer fidèles à eux-mêmes et non à nous, en fin de compte, ils nous portent plus préjudice qu’autre chose. C’est à voir. Somme toute, la vraie question est-elle celle-là ; qu’est-ce qui m’a pris ? Qu’est-ce qui m’a pris de vouloir suivre cette histoire ? Quand la vivre aurait dû amplement me suffire.
isabelle franc rttr
Protégé par le droit d’auteur (voir les modalités <http://www.culture.uv.fr/culture/info pratiques/droits/protection.ht
Commentaires récents