Tous ces cortèges de croyants m’effraient, m’amènent à la peur, tout comme cette force sans cesse florissante de leurs interdits me terrifie. Toutes ces sottises qui ont fini par envahir leurs cerveaux, et, au nom desquelles ils font des reproches, ils méprisent leurs prochains, imposent, dictent, en fait, dans l’histoire, ce sont eux les plus méprisables parce qu’ils nous racontent notre propre vie. Ils longent votre ombre, dirigent vos pas, rongent vos os…leurs pensées collées aux vôtres, sans fin,.A dire vrai, je n’ai jamais ressenti autant d’insécurité en moi. Que prêchait-il déjà ? Qu’est-ce qu’il disait ? Qui était là à l’époque ? Je n’étais pas là. Personne. Pourquoi encore croire aujourd’hui ? Il y a une part de moi qui revendique un certain droit de vivre.s’exprimer.
isabelle franc rttr
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