Dans quelle mesure la femme aurait-elle consenti à tout ce qu’elle a vécu ? Elle n’aurait rien choisi, pas de libre arbitre possible, envisageable. Elle n’aurait rien dit. Il y a là un flou, un espace infini toujours d’une blancheur quasi immaculé qui ne serait pas sans rappeler la mer…l’écume. La mer que je ne montre pas parce qu’elle se devine à l’intérieur de chacun, de l’homme comme de la femme. Je suppose qu’elle a dû abdiquer face à l’homme, dan son désir elle a cherché à se blottir, toute recroquevillée dans son narcissisme à lui, son débordement. Que voulait-elle exactement ? L’homme se serait mis à parler avec un certain agacement, s’adressant à elle d’un air condescendant. Il sait paraitre, prendre un air fier et pédant.
Isabelle franc rttr
Texte protégé par les droits d auteur