L’impuissance que nous brandissons face à l’évolution de notre société m’est devenue insoutenable. À cela s’ajoute, et vient se greffer l’impossibilité de rêver un monde où nos mains ne se toucheraient plus. Tu ne tiendrais plus la mienne. Un espace blanc sans toi, sans nous. Je me suis dit que je n’avais jamais vécu sans quelqu’un à mes côtés, quelqu’un à qui j’emboitais le pas. Tu finis par comprendre que tu es une femme quand tu commences à traverser les orages sans t’échouer comme un radeau. Cela est de toute évidence un moment singulier que celui ou tu repères cet abandon aux caprices de la vie. Ce sourire…mais ce sourire ! Unique.
ISABELLE FRANC RTTR
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rougepolar
13 janvier 2019 à 8 h 54 min
Joli texte qui mériterait d’être développé
Dernière publication sur Rougepolar : The end
handiparisperpignan
13 janvier 2019 à 9 h 57 min
merci merci t embrasse