Je dois appartenir à cette race de femme que l’on dit amoureuse celles qui se plaisent à demeurer à l’écart de la foule parce qu’elles ne brillent que pour une seule personne à la fois. Qui saura deviner de quoi est fait mon quotidien ? Il ne faut pas voir uniquement les attitudes béates, les morsures mais également tenir compte de ces grandes envolées qui surviennent de temps à autre. Le langage d’après le corps malmené retranscrit ce qui était incommunicable avant. Et comme par magie efface, soulage. A l’intérieur. A l’extérieur.
ISABELLE FRANC RTTR
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