L’angoisse ne cesse pas, elle persiste. Elle s’agrandit, s’étire, s’allonge. Lorsque je la sens monter en moi, m’envahir, moi et ma sérénité, elle m’apparaît comme un serpent rampant qui grimpe tout le long. Il est difficile de la contrecarrer. Je n’arrive pas à franchir le pas vers cet abandon-là. La soularde…elle cuve son vin dans son coin, au petit matin, …
Des sotises

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