Qu il me dise qu il m aime. Que fera t il lui pour me faire la cour ? Et me dire ce qu’il ressent pour moi. Quel signe sera le sien ? C’est un homme, laisse le, il saura quoi faire le moment venu., dit elle. O mon amour, pas encore vrai, ne me force pas déjà à m …
Je n’ai aucune nostalgie de ce que fut l’enfance, cette période si souffreteuse, je me souviens d’avoir traversé la mienne d’une manière pénible. Je ne suis pas d’une humeur mélancolique. On peut narrer le vague à l’âme, la tristesse, cela, on peut, mais pas ce qui est resté derrière soi. Je pourrais aussi bien dire que l’oubli n’existe qu’à compter …
Chaque fois que tu me quittes, j’ignorais si je te reverrais ne serait-ce que vivant, parmi les morts…je ne sais pas si nous aurions encore la chance de nous retrouver, de nous étreindre, de nous replonger, à nouveau, l’un et l’autre dans cet enfouissement amoureux, dans cette exigence que représente d’aimer l’autre plus que soi-même. Sache, que je ne vivrais …
Dans les heures creuses de la nuit, il y a les craintes, il y a des êtres que l’on attend plus que d’autres, parce que sans savoir d’avance pourquoi, leurs sourires nous en dit beaucoup plus que certaines larmes et autres fleurs. Le pédant, l’imbu, le condescendant qui se suffit à lui même n’attire les foules qu’au début, un court …
D’ailleurs il faudrait que j’apprenne à danser avec ton corps, suivre son mouvement, sa décadence, relire ses redondances, relier ses narratifs. Des mots fragiles, des mots faciles, si bien posés…des mots factices, des mots propices si bien trouvés, des mots qui manquent d’espace, d’autres qui manquent d’étoiles…Des mots futiles, des mots fébriles qui désarment n’importe quel irremplaçable. Ces doubles significations …
Dois-je me demander si cela relève de ma faute ? Tout réside dans cet espace des possibles. Peut-être ai-je vécu jusqu’alors dans un leurre. Un brouillard plus ou moins épais devant mes yeux. Peut-être étais-je venu jusqu’à toi pour chercher un quelconque réconfort croyant trouver une sérénité bienfaisante et apaisante. Je n’ai pas mis longtemps à m’apercevoir de ma naïveté. Parfois, …
Comment peut-on narrer ce que l’on s’imagine entrevoir dans le regard de l’autre ? On en perçoit qu’une infime lueur. L’image qui se reflète c’est avant tout, toute l’histoire de notre propre humanité. A cela viennent se superposer les autres histoires, le récit familial, l’obscurité de l’autre. Et chacun y va de son souffle, de son sifflement, de son soupir aussi. …
Sublime ! Elle est sublime, divine. Je ne mens pas, d’ailleurs, pourquoi le ferai-je ? Primo, il faut une bonne raison pour s’efforcer de faire croire à l’autre une chose dont on sait qu’elle n’a aucune existence réelle. Secundo, quel intérêt aurai-je à dire autre chose que la pure vérité ? D’abord, les mensonges se mentent à eux-mêmes. C’est une …
A l’origine, il y a la naissance d’un sentiment extravague, une vague tel un ressenti qui va dans tous les sens, qui avance sans pouvoir s’arrêter un seul instant, qui s’élance d’abord dans l’évocation, qui se précipite immédiatement dans la ferveur, qui s’organise autour de la confrontation. Uns bousculade perceptible qui vous fait vous écarter de la route des normes …
Dans, un tango interminable, j’aimerais me souvenir de mes rêves, ceux que je fais la nuit, et les autres, ceux que j’avais à vingt ans. Ont ils pris une ride ? J’espère que vous avez rêvé. J espère que vous avez pu imaginer une suite à l’a venir, j espère que vous aimez encore l humanité qui frappe à notre …
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