C’est l’attente qui est sublime. Ces manifestations de la dépendance aux caresses du regard de l’autre…ce laps de temps d’observation, où l’imagination galope, galope, ça donne l’impression d’une sorte de parade. Les improvisations de l’humeur amoureuse. On se dit toujours, tiens, j’aurais dû dire ça. Laisser parler cet autre à notre place, lapsus révélateurs ; la machine s’emballe. ISABELLE FRANC RTTR …
Quand on chavire

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