Il y a toutes ces premières fois, qui ne reviennent pas…elles font parties de ces errances perdues sur lesquelles on s’attarde sur leurs empreintes parce qu’elles ne peuvent être revécues. A quoi bon être seul chacun de son côté, alors que on devrait être cote à cote, ensemble. Je ne vois que l’audace d’oser être deux, celle de tant s’aimer, quasi insupportable parce que quelque chose s’étend jusqu’à l’infini, et encore au delà. Ces tentations de reprendre exactement là où l’histoire avait cessée. Je ne reste pas les bras ballants, cet amour, je l’interroge. Je vois à travers.
ISABELLE FRANC RTTR Protégé par le droit d’auteur (voir les modalités <http://www.culture.uv.fr/cultupratiques/droits/protection.ht // -tous droits réservés-Copyright ©- 2019