Et s il n y avait plus rien à pleurer. Plus rien à desirer. P’us de corps désirables plus de rêves. Je suis effrayée de ce vide. Il y a donc tellement d émotions qui ne remplissent pas notre cœur. Je reste épuisée de ces regards fermés, ces lèvres qui restent closes. Et il manque ce bercement de l âme. Ce brin d air qui fait vaciller le corps.
Isabelle franc Rttr
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