L’écume
Et j’ai cherché comment…je ne peux pas t’aimer, je ne peux pas te dire, ni te rejoindre…or, j’ai envie de brûler tout ca à la fois. Il y a des instants où l’existence devient une terre de sang, où la blancheur qui prévalait, celle de l’écume ; ici bas, quand les hommes se brulent les ailes ils atteignent la pure jouissance où chaque membre se tend comme s’il était la corde d’un arc. On s’abolit, on s’étrenne, on se démarque, on s’extrait, voire on se faufile parmi les barricades. On n’a pas le droit de clore nos yeux.
ISABELLE FRANC RTTR Protégé par le droit d’auteur (voir les modalités <http://www.culture.uv.fr/cultupratiques/droits/protection.ht // -tous droits réservés-Copyright ©- 2019
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