Je te vis, je blêmis, je fus à toi de suite.
Les mots ne venaient plus, je ne savais que dire.
Devoir m’enivrer aux feux de tes sourires,
Fût l’évidence qui s’imposa, ensuite.
Je ne serai à jamais devant ce Ciel,
Une autre que celle qui fit tourner la tête…
Une autre que celle qui chamboulât la fête…
J’avoue, Pècheresse parmi les pècheresses !
Ne me renvoies pas dehors, suit notre destin !
Ainsi, jouons de cet amour à quatre mains.
Ainsi, ne fais pas comme si rien n’avait eu lieu.
Envisageons ce rêve de réunir nos cieux !
Je me mets à genoux pour écouter ce vent,
Me pends à ton cou comme une adolescente.
Puis, à l’abri des étoiles malveillantes, si,
Faisons-lui la plus belle des offrandes : la vie