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Ce vide…

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Ô, tu peux te forcer à regarder ailleurs, faire mine de rien, faire semblant de ne ressentir aucune émotion particulière  lorsque tu te tiens debout face à moi; mais moi, je peux te dire ; j’entends encore l’écho de ce matin-là. Mes paresseuses pensées sont toutes occupées par ta présence, je sens ton silence m’appesantir. Engourdir mes pas. Un jour où l’autre toute comédie se voit interrompu, traversée par la sublimation de l’écho. Je ne voudrais pas avoir retenu toute sincérité et surtout ne pas réveiller ces instincts de défense…C’est par toi que j’échapperai à la sauvagerie, que je dompterai ma folie.  Je n’attendais pas de toi que tu parviennes à combler ces instants de vide, mais, tu l’as fait…

vide

Isabelle Franc Rttr

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