J’avançais parfois vers mon à venir, fière et résolue à en découdre. Les corps sensibles s’entrechoquent devant les vitrines où sont étalés les espoirs et autres desirs. La vanité empêche d’entrer par la grande porte. On choisit très souvent la porte dérobée de côté. J’aimerais parfois suspendre ma fragilité à votre bras. Et c’est précisément ce que je tente de faire pas à pas.
Isabelle franc Rttr
dj34450
26 décembre 2020 à 17 h 31 min
« … les vitrines où sont étalés les espoirs et autres désirs. »
Oui, espoirs vains, et désirs inassouvis.
La consommation s’expose, séduit puis déçoit…
Un jour le placard est plein d’illusions perdues, de bonheurs mensongers.
Puis la Planète s’essouffle, se fatigue, s’épuise… et l’Homme étonné ne sait pas quoi faire pour être heureux.
bien amicalement
Dernière publication sur Vie intérieure : ÉVANGILE DU VENDREDI 31 MARS
handiparisperpignan
28 décembre 2020 à 20 h 56 min
Oui, évidemment…merci de votre retour