Entre la passion que j’ai pour toi, le silence infligé, et le vacarme de notre époque, l’évidence n’a pas fini d’émerger chaque fois que tu me regarderas. Rien n’est plus précaire que d’aimer. L’autre chose. Rien n’est plus vrai que de t’aimer, toi. Et je tangue avec l’amour que j’ai pour toi. C’est rien, ou pas grand-chose. J’ai lové ma …
Ces césures…

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