Plus…
Plus j’y pense, et moins je sais trouver les mots pour parler de ce désir qui violente ma chair, évoquer cet affrontement à l’intérieur de moi, cet horizon invisible à mes yeux. J’ai laissé certains hommes accrocher tant de sourires chaleureux, d’autres, des espoirs, aux branches de mon arbre de vie, mais j’ai vite réalisé que tout cela n’était que des feux de paille. Des illusions qui se sont éteintes….Ils m’ont souvent fait trembler, de joie ou de larmes ; je me suis parfois remise en question pour les laisser un peu plus creuser leur sillon. Qu’est-ce que frémir la nuit ? J’attends qu’il passe. Avec le temps il finira bien par sombrer, lui aussi.
ISABELLE FRANC RTTR
Prenez soin de vous
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