Il y a des soirs où on oublie sa tête, ses textes, le pain…et le parfum des roses. il y a des soirs où la langue sous entendue n’est plus celle de l’amour. Et là, c’est la panique, on pense à ces choses ratées, aux autres sans cesse reportées…voire inachevées. A jamais, il y a aura ce précédent. J’aimerais que …
Pour …

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