Ô, j’ai pris conscience comme je peux aimer tes espaces silencieux. Chaque fois que nous devons nous séparer, nous quitter, au moment de se dire « au revoir », il y a toujours une minute de flottement, une seconde d’hésitation. Une bise ? Une poignée de main ? Quoi d’autre ? On aimerait se laisser aller à la grande étreinte, celle qui prône l’insoutenable légèreté …
J’ai pris…

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