Parfois, j’aimerais que toute cette agitation cesse. Ô, j’aimerais tellement être arrachée de ça, je contemple cette réalité, et ne vois rien d’autre qu’un miroir aux alouettes. J’ai cette voix qui se fait entendre, ces sautes d’humeur apparues depuis peu. Et mon libre-arbitre qui refait surface. Et la clarté. C’est, je crois, ma seconde chance, seconde et dernière d’être heureuse. Et avec elle je dis adieu à toi. J’ai appris, grâce à toi, que le vrai bonheur est et demeure indélébile, une fois rencontré, reconnu. Je vois que tu n’as rien compris à ma force sentimentale. Tu as préféré détourner ta voix. Ainsi-soit-il…puisque tu m’as guéri de ces hommes trop ambitieux, trop flamboyants, et, habités de leur suffisance. Ils n’entendent rien à la chance quand il la croise…Je me disais que je ferais bien d’apprendre leur implantation. Je vis ces derniers temps une incroyable mutation.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
<http://www.culture.uv.fr/cultupratiques/droits/protection.ht // -tous droits réservés