Il y a cette inconfortable sensation qui circule en moi, elle se répand tout le long de mes doigts, de mes jambes. J’ai mis longtemps à te suivre, j’ai adapté mon rythme à la lenteur ambiante, j’ai dit aussi comme j’avais peur de tous les silences parce ça ressemble à l’indifférence. J’ai repoussé les ombres des histoires anciennes pour faire peau neuve. Je vois certaines revenir danser les soirs de blues. La grande solitude est le couloir qui mène je ne sais encore où. C’est comme ça.
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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Kohl
20 mars 2022 à 12 h 29 min
Bonjour Isabelle, toujours agréable de lire tes mots fluides!!!
J’espère que tu trouves ta nouvelle voie comme tu dis, enfin tu le dis mieux !
Bisous
handiparisperpignan
21 mars 2022 à 7 h 38 min
Bonjour, et merci de ta presence. Belle journée