Avec le temps, j’ai choisi de ne plus faire semblant, j’aime mieux dire les choses telles qu’elles sont. Je n’ai plus l’envie de lire entre les lignes, de ménager chaque susceptibilité, d’enrober…Quelque chose ne va pas ? Ô, je voudrais empêcher le mal de se répandre si vite. Tu as dit que l’on été entré dans un autre monde. On oublie très souvent, qu’être heureux, découle, des choix que nous faisons, on oublie que c’est en nous-même que se trouve la clé. On hésite toujours à ouvrir ces portes-là. Le monde ne me semble pas prêt à mettre la douceur en avant. On parle bien de l’insolence, l’arrogance, l’intolérance…C’est le constat que je n’arrête pas de me faire. Alors je surfe, en attendant…
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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