Je pars…j’ai aimé ce que tu m’as donné, gentiment, avec force et patience. C’est un cadeau inestimable que tu as semé. J’ai retenu ton sourire lorsque nous nous sommes rencontrés la première fois. Ce fut, je crois, le début d’une admiration sans borne. Tout, en toi, me séduisit. Peut-être que le véritable amour ne souffre pas le moindre chant dissonant ? J’avais, pourtant, attendu longtemps avant de nous entremêler…nous, nos corps, nos visions, nos discours etc … mais, plaire à n’importe quel prix aux autres suppose trop de pliures, de contorsions, de pleurs. Que cette nouvelle révolution me fasse grandir, qu’elle vienne à bout de mes tempêtes. Je sais que je n’oublierai pas tes mains posées sur mes épaules, tes baisers sur mon front. Il y a de l’ivresse et du bonheur dans tes gestes. Je n’ai plus peur de la vie, de mes élans, mes victoires, mes chutes. Et ce chant, que j’aime profondément, continuera de se répandre en moi. Qu’aimerais-je connaître de plus ? Quelque chose qui ressemble à tes éclairs…
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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