Ces deniers temps, je n’étais pas bien. Parfois, les gens que l’on aime, ne le comprennent pas, ou ne veulent pas le voir, y répondre. Ils n’entendent pas les battements de nos cœurs, n’imaginent pas un instant, nos drames, ni les frissons qui nous parcourent. Ils s’assoient, au bord de leur ego, sans penser que leur réponse est ce qui nous fait le plus grand bien, leur attention, le plus grand bonheur…Il y a des voyages qui nous sont interdits, à cause de ce qui se distille. J’ai désamorcé tellement de fins, survécu à l’envers des regards, à la tristesse des amoures défuntes. Je veux sourire, ouvrir ma paume aux cieux ; je sais que j’ai toujours eu la deuxième place, la plus tragique. On ne la désire jamais.
Alma isabelle franc rttr Et prenez soin de vous…Texte protégé <http://www.culture.uv.fr/cultupratiques/droits/protection.ht // -tous droits réservés