Il y a ces mots que tu cherches à dire, mais qui ne sortent jamais. Il y a ces rêves que nous faisons toi et moi, en silence. Et les choses de ce monde qui semblent nous piétiner, mais que nous traversons à l’aveugle. Ouvre donc la faille qui est en moi, vas-y, élargis la, fais en sorte que cette soustraction donne un sens à ma vie. Il faut croire que tout le monde se plait dans le mensonge. C’est ainsi qu’à chaque regard tu pioches, pioches…tu serais capable de grands débordements, de filer à toute allure vers d’autres pluies…tu es quelque chose comme ça. J’aime revenir à ma vie en ayant ton sourire en tête. Je me souviens, quand j’étais enfant, j’attendais que la chance m’attrape au vol ; et, en revenant à toi, j’estompe l’essoufflement. Tu sais lorsque l’on arrive au bout, là où on n’aime plus la solitude, ni le vide.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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