Ô, la vie et ses moments chaotiques…Qu’advient-il lorsque le regard de l’autre devient tellement désespéré ? On prend en pleine figure l’insoutenable fragilité de tout être…c’est ainsi, on ne peut rien y faire. On ne décide pas de faire partie du cortège, ou pas, on est dans l’allure des pas. Avant, on sen sentait infaillible, indestructible, invincible. C’est à cet instant précis, que l’on prend conscience du point de bascule, en fait, on n’est jamais préparé au désarroi, à la contradiction, au conflit, à l’impuissance d’être désarmé, dans quel nouveau monde réside-t-on ? Cela ramène encore à la volonté d’être, autrement subjuguée par les larmes…et, il y a une liberté dans l’arrogance d’aimer à outrance, quelque chose qui vient s’ajouter comme une grâce. Le souci de ces regards-là, c’est que l’on y entre aspiré.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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