Un visage de plus. En attendant, je respire ton absence. Lorsque l’unique réponse que tu donnes est celle-ci. Et tu m’abandonnes, alourdie de tes limites infranchissables. Sur tes épaules, un voyage hors de tout cadre sûr. Est-ce moi qui aurais l’âme fugueuse ? Je pourrais décrire ce gout des larmes qui passe d’une humeur à l’autre. Elles recouvrent l’ensemble de ma mes joues. Seulement l’humanité n’a que faire de celles-ci. Il y a quelque chose qui s’éveille doucement, c’est imperceptible. Chaque larme versée est un deuil qui oblige à s’agenouiller. Je me souviens d’avoir dit que je ne voulais plus perdre de temps. J’ai reçu de toi des choses si belles, si bienveillantes, je les garde au fond de mon cœur.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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