Ai-je donc déterré la hache de guerre du but des lèvres ? Je me le demande tellement souvent ces temps-ci, que j’ai fini par danser sur d’autres airs, m’abandonner à d’autres musiques que celles que tu savais jouer au piano. Tout ceci dans l’espoir de trouver un apaisement. J’exècre ta froideur. Je la sens glisser le long de mon corps. Je t’envie cette capacité de tenir à distance toute émotion. Je n’ai rien décidé, ni choisi. Je savais depuis le début que ce serait une adorable aberration. Il se trouve que cela s’est gravé dans ma chair, que j’avais envie d’aller jusqu’au bout, de tout dire, sans retenue.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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