Fragile…
Dans ma chevelure noire, j’ai caché l’abnégation de tes désirs. La douceur de tes mains, les étoiles de tes regards…ces quelques bourgeons pas encore parvenus à éclore, je crois ressembler à une femme triste et fragile…à l’humeur bien indécise. J’ai la tête emplie de vertiges, de regards éphémères, de lumières soyeuses. Lentement, j’ai débusqué la grâce, la seule chose qui compte à mes yeux parce ce que c’est comme cela que les cœurs sont éveillés à jamais. Je n’ai rien emportée lorsque que j’ai pris le temps de m’échapper. Je n’ai rien scellé. T’aimer est une longue avenue qui mène d’une étreinte à une autre…
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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