Piqûre…
Regarde-moi, je n’ai que des mues meurtries par le soleil à t’offrir, des bras à demi rongés pour atteindre de nouvelles terres, et ouvrir les portes de l’océan. Il y a longtemps que je balbutie ton nom, que je suis prête à t’accueillir, mais toi, tu ne veux pas recevoir mes paroles obscènes d’amour. D’où je viens, tu n’y es jamais encore allé. C’est si étrange le silence d’un être aimé. La nuit, sur le grand tapis des rêves, je me rends. L’immense gratitude d’avoir pu t’aimer jusqu’à que les corps deviennent des ruines. Mon âme est pleine de tes absences, dans une rafale de vent, tu m’imposes une autre naissance.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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