J’avoue ne pas avoir de chance. Je suscite la dureté, une certaine hostilité, la haine, parfois…il y a une sorte de tragédie, qui court le long de ma vie, il faut d’abord s’interroger sur son rapport aux autres. Être ce grain de sable dans un monde huilé et parfait. De la lune, j’ai perdu la lumière maternelle et bienfaisante. J’ai été forcée de vivre sans peur, ensauvagee et fricassée. J’avoue être un temps redressé, un esprit dans un corps qui traîne. Impossible de tuer mon corps, ma pensée et moi…un murmure, nu, léger, libre et souverain. Les histoires des passions physiques divergent. Les visages meurtris , ne pas atteindre la mort,
Alma isabelle franc rttr
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