Et je me souviens du début, des balbutiements, des tremblements à l’intérieur, du cœur qui palpite à la folie. Et la peur d’affronter ce regard profond. Désormais, l’attachement décroit, je le laisse déambuler, flâner parmi la houle des eaux vives. Je me souviendrai des sources de ce mal-être, de cette intransigeance que tu intercales entre deux plis. De ce qu’il reste de cette amertume suspendue, sa part de deuil qui geint au bord des lèvres. Et cette immersion qui s’empare de moi et ne me quitte plus. Nous n’osons plus se dire un mot, si intime soit-il… Et je me souviens du début, des balbutiements, des tremblements à l’intérieur, du cœur qui palpite à la folie. Et la peur d’affronter ton regard. Là, l’attachement décroit, je le laisse déambuler, flâner parmi la houle des eaux vives. Je me souviendrai des sources de ce mal-être, de cette intransigeance que tu intercales entre deux plis. De ce qu’il reste de cette amertume suspendue, sa part de deuil qui geint au bord des lèvres. Et cette immersion qui s’empare de moi et ne me quitte plus. Il y a une chose qui m’effraie, nous n’osons plus nous dire un mot, si intime soit-il…Je mets devant toi…mon dos. Il y aura toujours cette histoire, à laquelle se suspendre, elle n’est pas finie, elle reviendra, ces heures indécises surgiront du bleu de cet azur…elle touchera, elle bouleversera, elle dérangera à nouveau. La façon dont tu es parti fut violente, je t’aurais arraché les yeux.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
<http://www.culture.uv.fr/cultupratiques/droits/protection.ht //r -tous droits réservé