Je n’ai jamais ressenti autant l’injustice que ces derniers temps. Aucune larme ne m’a été épargnée, aucune égratignure ni douleur. De toutes celles qui m’ont percutée, celle-ci est un vrai coup de poing. Ce que j’appelle désir tourne en rond. Le plus affreux dans tout ça, c’est quand la paranoïa des gens réorganise le monde. Je cherche à faire comprendre aux gens l’invisible, ce qu’ils ne comprennent pas. Je contemple l’insoutenable légèreté de l’être, l’inconstance des hommes en particulier, sans vraiment lqeur en vouloir ; peut-être ont-ils raison in fine ? Fascinée, je m’applique à abréger la souffrance des chairs, des esprits, des âmes, je cherche, je cherche…la lumière, où aller. Il y a des moments où il faut savoir hurler. Que fait-on dans une histoire si on ne parle pas ? Pour toi je serai une larme de plus, tu es tellement habitué à l’amertume. Pourquoi ne caresses-tu pas ma peau, pourquoi mens-tu ? Quelqu’un appuie sur me souffrances, et moi, je serre les poings. Le monde déteste une femme qui se bat. Le monde lui dit qu’elle l’ouvre trop, il n’aime que celles qui se plaignent. Il faut savoir, de temps en temps, rompre, à bon escient, pour gagner, pour changer, pour mourir…la mort n’est pas une chose qui me dérange, m’effraie, elle nous attend tous. De ces quelques relations éphémères ou durables, au loin séjourne ma paix, mais, je ne sais comment l’attraper.
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous…Texte protégé
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