Toujours choisir le regard qui te regarde…Souffle un vent de liberté. Être à la verticale, être à la hauteur…oser dire, pointer du doigt…j’entoure mon visage de lumière, de courage et d’audace. Faites sue je la retrouve mon âme d’en, que je la retrouve saine et sauve, cette pureté. C’est une maison blanche aux volets bleus, derrière lesquels j’ai caché toute …
Légèreté, insouciance, enthousiasme, personne ne me fera taire, ni ne m’empêchera d’être comme je suis…L’amour de l’autre devrait être inconditionnel. Être un don de soi vrai, fort et pur. Le refus d’accueillir l’autre inaugure l’émeute des eaux intérieures, quelques remous en soi…aux heures douteuses, je répare les visions du monde Savoir serrer l’autre dans ses bras c’est un peu se …
Il m’apparaît que l’honnêteté n’est plus de mise. Peut-être la simplicité est-elle une boussole au cœur de cet immense fracas. Tu dis que ma chevelure sent bon l’anarchie…nous avons besoin des cordes pour retenir nos peurs. Je t’attends partout, derrière le bleu du ciel, à la verticale du soleil, dans l’interstice des entrebâillements. J’irai rejoindre tes doigts pour croiser nos …
Devant tes yeux, je n’ai que mon âme, nue et dépouillée …je ne rêve plus, je n’ai plus d’envie. Se souvenir sans embruns de ce que nous avons vécu. Silence assourdissant tout côté. Là où nos bras fusionnant, il y a un immense vide. J’ai été éblouie, ravie…par un regard plus large, fort et respectueux, avec, toujours, ce besoin de …
Chaque aube, je m’arrête un instant pour penser à nous. J’ai besoin d’être cette passagère, éprise…fugitive, c’était quand même beau et magique, cette folie entre nos corps. Il pleut dans mon cœur…évidemment, cette frivolité entre nos âmes nous donnait l’envie de vivre. Alma isabelle franc rttr Texte protégé
Grand, odieux et terrible à été ce dernier regard. Je fus donc un monstre…je veux que tu te souviennes de moi comme d’ une femme joyeuse, généreuse, qui, du bout des doigts à construit des passerelles entre chaque âme. Je regorgeais de sourire, de mots, de promesses…je débordais de gratitude et de reconnaissance, pas que, de doutes et de questions. …
Comment peut-on arriver à comprendre la blessure de l’autre au point de parvenir à se mettre, ne serait-ce un instant, à la place de l’autre. Il faut avoir développé un talent inouï, être compatissant, compréhensif, tolérant. Je me souviens, sur le point de réussir, je m’enfuis. La folie du jour est de croire que l’on peut aisément s’absenter de soi, …
Ô, j’ai retenu la délicatesse qui se dégage de ton cœur. Peu à peu, j’ai l’impression d’apprendre à l’apprivoiser, alors je ne sais pas pourquoi j’ai encore peur. Anxieuse et fragile, je m’étais défendu d’en arriver là, à cet extrême. Le cœur trahi, abîmé, à bout de souffle, abandonne l’âme à son errance, de douce elle devient farouche, instable, odieuse …
Parfois, la langue est lourde de mensonges. D’inconséquences, aussi. Je tends l’oreille. La tempête y traverse la parole. Sans avoir conscience que chaque mot dit, prononcé, énoncé, emporte un peu plus vers le large. Cesser d’ouvrir les vannes à la colère…même si c’est un refuge, un abri contre le monde et contre l’injustice. De ce monde opaque, un peu plus …
L’humiliation est-elle une seconde nature ? Je vais écouter, sans argument, puis, m’éclipser, m’effacer…partir. Je vais ainsi me replier. Je vais toucher la gravité des âmes. J’aurais perdu la force vitale de la genèse. J’aurais perdu le secret du passage vers le Styx. Ô, j’enlèverai la fierté, j’élèverai la nostalgie, je me confondrai en soupirs…sur ce monde insignifiant. Ne me retenez …
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