Grand, odieux et terrible à été ce dernier regard. Je fus donc un monstre…je veux que tu te souviennes de moi comme d’ une femme joyeuse, généreuse, qui, du bout des doigts à construit des passerelles entre chaque âme. Je regorgeais de sourire, de mots, de promesses…je débordais de gratitude et de reconnaissance, pas que, de doutes et de questions. Il y a en moi ces voix qui s’entremêlent sans fin, pourtant je reste murée dans la stupeur. Mon âme fébrile se faufile à travers les rayons du soleil. Il m’arrive parfois de croire …de toute façon, quoi que je fasse, j’ai été critiqué. Je suis venue à la mer aspirante , ainsi, j’ai couru, j’ai cherché ton regard. Je suis venue m’installer dans ta vie rapidement, comme un rayon de soleil. Pour moi, tu es un revit, un journal, un poème brûlant surgit de ma parole. Glaner jour après jour, ton attention, ton désir…je ne dois que t’ouvrir en grand les portes.
Alma isabelle franc rttr
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