Parce qu’il est des êtres que l’on aurait préféré ne pas croiser, in fine. Sauf que les chevelures s’emmêlent et on se sent obligé de comprendre en allant jusqu’au bout. Certains matins, rares, l’océan, furieux, s’applique à venir effleurer ma peau. Et je me suis échouée sur les rives de l’humanité désenchantée. Je dois me déshabituer de cette lumière aveuglante, cesser de soulever les paupières. Il me faut continuer de désirer, aimer…aimer, encore.
Alma isabelle franc rttr
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