Pendant ce temps j’ai renoncé à contempler les nuages flamboyants. Quel est le temps de vie qui m’est imparti ? Venez, chères âmes, entourer mon corps de vos chaleurs respectives. J’ai le sentiment de devoir vous attendre, moi, l’insensé…la guerrière de l’amour, que je suis, à toujours des gestes amples et légers. Le sens de notre vie ne ne appartient pas, en rien. Ce matin, sur mon chemin, j’ai croisé tes grandes sentences, je lisais cet attachement excessif ; une chose est sûre : ni l’absence, ni le silence n’apporte quelque chose. Être perdue dans tes regards, tes pensées, m’offre une colère bouleversante.
Alma isabelle franc rttr
Texte protégé