Je me réfugie dans la tempête, seul lieu de mon réconfort. Enfin, j’ose, c’est-à-dire, je n’ai plus peur de dire les choses telles que je les ressens, les vis. Petit à petit, j’ai bâti cet échafaudage pour atteindre le miraculeux firmament. L’éphémère…J’entends enfin le merveilleux chant, si mélodieux des oiseaux. Un premier matin du monde inondé d’ivresse et imbibé de liesse. Je suis sortie de ce tourbillon…alors quelque chose a refait surface en moi, peut-être cette larme suspendue, un soupçon d’envie…
Alma isabelle franc rttr
Et prenez soin de vous
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